Je l'aimais, Il m'aimait, Un jour, Il m'a dit :
"Loin... des Amériques..."
Océan, Paradis...
Extrait de mon rom. : "Loin... des Amériques..." Vous allez me prendre pour une dingue et rien capter, mais moi je comprends... Ce petit texte signifit beaucoup de choses...
Océan, Paradis…
Ses yeux de merveilles m'ont plongé dans le rêve,
L'océan tout entier se dessine dedans.
Sa voix est de miel,
Sa voix est si belle,
Sa voix de romance et de malice à la fois…
Beau il est,
Belle je suis, dans l'océan, Paradis de ses yeux infinis...
Pour toi, Matiss...
(L'Amérique n'est pas si loin...)
A.lou
Voilà, ça a rien avoir avec les poèmes et tout, mais je voullais juste montrer une photo de la fille la plus géniale au monde que je connais depuis la maternelle... C'est ma tite loulou-adorée !!! Cette une petite blondinette super, c'est grâce à elle que je m'en suis sortit... que j'ai appris à cesser d'être snob avec les autres, à sortir de mon monde trop noir.
Loulou, merci, jtd !
Sourire au diable
En un regard tu m'as piégé,
En un sourire, je t'ai aimé.
De nos lèvres un autre monde est né,
Un monde si désirable,
Que tu en ais devenu le diable.
Diable dans la peau comme dans le cœur,
Mais aussi diable du bonheur.
Malheureusement, de nos baisés endiablés,
De nos corps mêlés,
Est née la calamité.
Tu avais tué mes parents,
Tu avais tué mes amis,
Pour que nos sentiments
Nous soient tous permis.
"A la vie, à la mort",
Nous avons chuté sous l'enfer.
Les flammes brûlaient nos corps,
Embrasaient nos chaires.
Des chaires si récentes,
Que la souffrance et le mal
N'auraient pas du entraîner sur leur pente.
Le monde, pour toi s'est éteint,
Pour moi, le monde s'est détruit.
Je t'ai recherché, toi, mon défunt,
Je t'ai pleuré, sous la fine pluie.
Pleuré, cet amour interdit,
Pleuré pour mon erreur,
Celle de t'avoir un jour souris…
Celle d'avoir écouter mon cœur…
Depuis, passent mes jours et mes nuits,
Dans cette prison de Paris
Où je réside depuis t'avoir suivis.
J'ai payé tes crimes,
J'ai perdu mes racines.
Et je meure peu à peu,
Pour te rejoindre dans l'haut dessous…
Si tu savais comme je t'en veux
D'être diable, d'être fous,
Et d'avoir gâché,
Cinq de mes années
A me faire pleurer,
Tout notre passé…
Bulle du bonheur
Voili, voilo un tit poème que j'ai écris à 11 ans... Un de mes premiers vrai poèmes ! Il représente une grande valeur sentimentale à mes yeux. Cette bulle du bonheur, qui refermait ses portes aux autres que moi. Je m'isolais dans mon monde... Un monde qui me premettait de m'effacer... de mourrir d'une certaine manière... De m'isoler du vrai monde ordinaire, que tout le monde connaissait, de cet autre monde qui ne me comprennait pas...
Laisse-moi pénétrer dans la bulle de ton cœur.
Ouvre-moi les portes de la vie,
Celles du malheur,
Celles du bonheur, aussi.
Je veux aimer, savoir et penser,
Jouer, avoir et danser,
Ouvre-moi les portes, laisse moi entrer…
Etrange bulle du bonheur,
Au mur blanc et noir,
Aux parterres de fleur
Qui s'allume le soir
Et s'éteint le jour,
Aide-moi !
Apprends-moi l'amour,
Donne-moi ta voix.
Offre-moi le jour,
Allez, fais moi enter dans ta bulle,
Rien qu'une fois,
Une longue fois,
Une si longue fois,
Que ma vie y passera.
Je n'ai rien a dire,
Alors cesse de me contredire,
Ne me laisse pas mourir,
Offre-moi un cœur,
Que j'entre dans ta bulle du bonheur !
J'aimerai tant...
J'aimerai tant pouvoir t'aimer toute une vie,
J'aimerai tant croire que le ciel est infini.
J'aimerai tant lire entre les lignes de tes mains,
J'aimerai tant que tes paroles n'aient plus de fin.
Mais l'amour est une pomme empoisonnée,
Que l'oubli emporte entre ses serres,
Que le temps balaye avec ses longues années.
… Et moi je pleur toute cette misère.
J'aimerai tant te dire toujours,
Mais encore faudrait t-il qu'il y ait un jour.
J'aimerai tant revoir tes sourires,
Mais pour cela, l'amour doit revenir.
L'amour, c'est un serpent venimeux,
Qui a craché son venin mortel dans mes veines,
Qui m'a rendu fous, homme malheureux,
Qui a creusé l'amour, qui l'a emplit de haine.
J'aimerai tant que l'amour revienne, qu'à nouveau tu sois la reine.
J'aimerai tant que le mur qui nous sépare s'effondre sous la Seine.
J'aimerai tant que le vide de nos jours
Soit à nouveau emplit d'amour…
J'aimerai un soir,
J'aimerai une vie,
Je t'aimerai, toi, qui m'aime déjà.
...
Vide d'amour...
Il m'écoutait, le regard emplit de tendresse et de vide reposant.
Je l'aime.
Je l'aime à en souffrir, à en mourir, à en crever !
Crever d'amour, d'absence. Mourir un soir. Un peu de glace, engouffré dans le cœur, un peu de froid qui fait de mon cœur un iceberg géant, emplit de vide, emplit de rien.
Je heurte l'amour, l'amour incertain.
Je chavire, sur un désert de glace, une boule dans l'estomac, je flotte, je coule, je meure...
Je l'aime...
Je l'aime, mon amour est intact, mais son absence ronge l'espoir, couvre le vide d'un gigantesque linceul blanc.
Blanc comme la mort, blanc comme sa mort.
Comme l'oubli.
… Les sourires délavés, des couleurs qui s'échappent, s'effacent, trépassent…
"Des fois, j'ai l'impression que la Terre tourne sans moi"…
C'est ce que tu disais, c'était ce qui m'envoûtait.
La sensation de guider tes yeux et toi mon cœur me faisait frémir de douceur.
Jamais plus je n'aimerai comme j'ai aimé me bercer au creux de tes soupirs de mystère, plus jamais on ne me fera sourire comme tu m'as fais sourire de merveilles.
Je veux vivre près de toi. Je veux mourir dans tes bras…
Pour toi.
... Rien que pour toi.